Film: The Gift (documentation sur bareback) avec sous-titrage en français
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En Europe comme aux Etats-Unis, les gays se protègent moins du sida. Ce triste constat, qu'expliquent à la fois l'arrivée de trithérapies en 1996 et a la baisse des efforts publics et associatifs en matière de prévention, est aggravé par un phénomène marginal mais très préoccupant: [desc=Le barebacking, littéralement « chevauchée à cru », désigne la pratique de rapports sexuels non protégés, et par extension un courant polymorphe prônant le culte et la revendication de cette forme de pratique sexuelle, ainsi que le culte du sperme.]le bareback [/desc]{hqqp://fr.wikipedia.org/wiki/Barebacking}. C'est le sujet du filme de Louise Hogarth {hqqp://www.dolfilms.org/about.html}
««Gift giver»»: séropositif qui offre en ««cadeau»»le virus du sida. ««Bug chaser»»: séronégatif qui cherche délibérément à être infecté par la (VIH, HIV en anglais) est un rétrovirus infectant l'homme et responsable du syndrome d'immunodéficience acquise ([desc=Le syndrome de l'immunodéficience acquise, plus connu sous son acronyme SIDA ou sida(qui vient de l'anglais Acquired Immune deficiency Syndrome, AIDS), est le nom d'un ensemble de symptômes consécutifs à la destruction de plusieurs cellules du système immunitaire par un rétrovirus. Le sida est le dernier stade de l'infection par ce virus et finit par la mort de l'organisme infecté des suites de maladies opportunistes.]Sida [/desc] {hqqp://fr.wikipedia.org/wiki/Sida}), qui est un état affaibli du système immunitaire qui le rend vulnérable à de multiples infections opportunistes.[desc=Le virus de l'immunodéficience humaine (VIH, HIV en anglais) est un rétrovirus infectant l'homme et responsable du syndrome d'immunodéficience acquise (Sida), qui est un état affaibli du système immunitaire qui le rend vulnérable à de multiples infections opportunistes.]VIH [/desc]{hqqp://fr.wikipedia.org/wiki/Virus_de_l'immunodéficience_humaine}. ««Barebacking»»: relations sexuelles volontairement non protégées. Louise Hogarth assène ces quelques définitions en préambule de The Gift {hqqp://www.thegiftdocumentary.org}. La réalisatrice américaines a consacré deux ans et demi de sa vie à ce nouveau phénomène: la tentation de la contamination volontaire. Construit sur la base de témoignages de gays fidèles au safe sex et d'autres qui ne le sont plus ou pas, le film donne la parole aux deux parties, cherchant à comprondere ce qui les relie. Pourquoi certains gays préfèrent-ils devenir séropositifs plutôt qui de se protéger? Pour répondre a cette question centrale pur la prévention, Louise Hogarth s'est tournée vers le psychologue californien Walt Odets, dont le témoignage est au cœur même du film. Auteur de Shadow of the Epidemic {hqqp://www.waltodets.com/Books/In_the_Shadow_of_the_Epidemic/in_the_shadow_of_the_epidemic.html} (publié en 1995 {hqqp://books.google.fr/books?id=9nokfyi64GwC&pg=PR1&lpg=PR1&dq=Walt+Odets+gift&source=bl&ots=c4UsqtDha4&sig=-VofhLVBIS0ydtsbPVJzWtrXxcg&hl=de&ei=NN-xSf7cI5ia1QWW2-mDAQ&sa=X&oi=book_result&resnum=8&ct=result#PPA24,M1} aux États-Unis et jamais traduit en France), Walt Odets est le premier à voir énoncé la théorie de la culpabilité survivant et proposé quelques pistes de réflexion sur le rôle des séronégatifs dans la prévention. Dans le film de Louise Hogarth, Walt Odets explose de douleur quand il se rappelle comment son ex-boyfriend, aujourd'hui disparu, lui a annoncé qu'il était séropositif …
he Gift est chargé d'émotion. Personne n'a cherché à faire le même travail d'enquête en France. Montré dans plus de 130 festivals à travers le monde, The Gift n'aurait jamais pu sortir en France sans l'acharnement de Didier Lestrade {hqqp://fr.wikipedia.org/wiki/Didier_Lestrade}, journaliste, co-fondateur d' Act Up-Paris {hqqp://www.actupparis.org} et du magazine Têtu {hqqp://www.tetu.com}, qui a organisé la première projection du film à Pris et qui a invité Louise Hogarth à venir le présenter. The Gift peut à la fois servir de catharsis et d'outil de prévention. Mais le dénis est l'allié du bareback. En janvier 2005, dans une longue interview à Têtu, Louise Hogarth ne cachait pas son pessimisme: ««Même les gens qui ont vu leurs amis mourir ne croient plus aujourd'hui qui ont vu leurs amis mourir ne croient plus aujourd'hui que l'on meurt du sida. Même les gents qui ont connu des malades ne croient plus à la réalité de la maladie. Les gay se mentent eux-mêmes, et ils mentent aux autre. (…) La base même de cette communauté s'effondre: il n'y plus de confiance, d'amour, d'intégrité.»»:
_**EDIT: I know that you put a lot of effort into making this, but by the rules, 'live links' are not allowed, therefore sorry i had to remove them. And since i see that you have taken good effort to make this i made sure that the links stand out and i have also underlined what the links are for.
(Je sais que vous avez pris beaucoup d'efforts dans ce, mais que par les règles, 'live liens' ne sont pas autorisés, donc je m'excuse, j'ai dû pour les supprimer, et puisque je vois que vous avez pris l'effort à faire de ce, j'ai pris l'effort de rendre perceptible les liens, également, je en vertu de bordée que le lien est pour. )_